vol.

Exercice du regard, voyages, sérendipité. J’arpente les villes et les paysages, la caméra de mon téléphone comme carnet de croquis. J’accumule des fragments, des détails, des situations, des séries, qui se retrouvent archivés dans l’espace du livre. Ce corpus de formes, comme un prisme opérateur doués de réalités, vient nourrir ma pratique sculpturale. Pensant la mise en page comme la mise en espace, j’use d’un langage triangulaire où les dimensions dialoguent entre elles, amenant à une relecture poétique du quotidien.